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Le quartier d’affaire européen de Strasbourg se positionne dans une stratégie de développement métropolitain vis-à-vis de grands sites identifiés dans les documents de planification et dans le cadre de la démarche Eco-cités dont Strasbourg est lauréat. L’agglomération souhaite renforcer son dispositif d’accueil et son offre à destination des grandes manifestations internationales (G8, OTAN, sessions parlementaires…).
L’objectif de l’étude est de parvenir à un consensus politique concernant la relocalisation du Parc des expositions et l’extension (PEX) du palais de la Musique et des congrès (PMC) en lien avec le développement d’un quartier d’affaires européen en vis à vis du parlement.
INterland a démontré la contradiction existante entre la restructuration du palais des exposition sur le site du Wacken-Europe et le développent du QA. Inexia – Menighetti étudie la faisabilité de développer un PEX en site contraint en associant les espaces d’accueil de l’agglomération. Dès lors le schéma directeur du quartier d’affaires peut être précisé sur la base des éléments de programmation apportés par les économistes.
La réflexion porte à présent sur la notion d’espace public européen, et sur sa traduction en termes programmatiques et formels identifiables comme tels, identitaire pour Strasbourg, métropole transfrontalière, et levier de développement comme le fut auparavant le tramway.
INterland propose d’associer les problématiques de développement urbain, et la structure des espaces publics avec la prise en compte des problématiques hydrauliques sur un site partiellement inondable.
Les espaces de stationnement sont inscrits en infrastructure des bâtiments du quartier d’affaires entre la cote des plus hautes eaux et la limite de crue centennale : un système de voiries surélevées permet d’éviter l’effet de dalle et d’animer l’espace public au niveau RDC.